Georges Monbiot estime qu’il n’est nul besoin de savoir s’il est trop tard ou non pour agir et essayer d’infléchir le cours des évènements :
Oui, il est peut-être déjà trop tard - même si nous réduisions demain les émissions à zéro - pour prévenir un réchauffement de plus de deux degrés, mais nous ne pouvons pas nous comporter comme si c’était le cas. Car ainsi nous rendrions cette prédiction certaine. Aussi difficile ce combat soit-il, aussi improbable ses chances de succès soient-elles, nous ne pouvons nous permettre de renoncer.
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