Dans un article intitulé péripéties financières (libor et taux d’intérêt négatifs), Frédéric Lordon nous livre trois hypothèses sur les taux négatifs. La conclusion de ces trois hypothèses a de quoi inquiéter :
Au total si l’on met de côté les arguments techniques de la collatéralisation, les rationalités sous-jacentes aux taux négatifs (car il y en a) portent des jugements implicites sur la situation européenne qui disent plus l’imminence de la catastrophe que le bonheur des emprunteurs…
A en croire Frédéric Lordon , nous allons au devant de tourmentes “imminentes”.