Dans un article intitulé rien à cacher, Laurent Chemla propose une réponse à apporter à ceux qui ne voient pas l’intérêt de défendre leur vie privée au prétexte qu’ils n’ont “rien à cacher”.
Selon lui, ce qu’il faut retenir des révélations d’Edward Snowden, l’information principale du programme PRISM et de ses suites, c’est que “l’information recherchée n’est pas ce que nous disons, mais à qui nous le disons”.
Et finalement,“la question n’est plus pourquoi doit-on se protéger, mais bien pourquoi doit-on protéger ceux avec qui on échange”.