Au delà de l’image classique de “l’islamiste s’étant radicalisé par internet”, deux articles recherchent des causes plus profondes à la radicalisation d’un individu :
- expliquer la radicalisation (1) : individus, interactions, identités et croyances
- expliquer la radicalisation (2) : portrait robot du « djihadiste maison »
La conclusion du premier article pose une bonne question :
La plupart de ces manifestations de rejet de la pensée dominante n’ont pas ou peu recours à la violence, du moins pas en France et pas actuellement, mais la question existe : quels sont aujourd’hui les moyens de s’opposer démocratiquement et de façon non violente à la pensée dominante ? Parallèlement, comment agir pour que les notions inclusives de liberté, égalité, fraternité, laïcité… ne deviennent pas discriminantes ou stigmatisantes ?
C’est finalement la question du fonctionnement de la démocratie qui est posé ici.